L’État non démocratique en droit international
Etude critique du droit international positif et de la pratique contemporaine
Jean d'Aspremont
Quatrième de couverture
Dans son ouvrage intitulé L’État non démocratique en droit international. Étude critique du droit international positif et de la pratique contemporaine, Jean d’Aspremont rend compte de l’impact profond qu’a eu le discours démocratique libéral sur la discipline du droit international, son vocabulaire, ses institutions et ses sujets. Fait important à noter, Jean d’Aspremont, professeur de droit à l’Université d’Amsterdam, n’entend pas discuter de la démocratisation de l’ordre juridique international. Selon lui, « l’ordre juridique international peut être structurellement non démocratique quelle que soit la forme du régime politique de ses sujets ». Le plan d’analyse de l’ouvrage est organisé autour de la distinction entre « droit de la coexistence » (Titre I) et « droit de la coopération » (Titre II). L’analyse du professeur d’Aspremont démontre que « l’impact de la forme non démocratique du régime d’un État sur les règles régissant la coexistence entre États diffère de son incidence sur les règles qui procèdent de la coopération entre États ».