Dictionnaire de l’actualité internationale
Sous la direction de Valère Ndior
Quatrième de couverture
Le Dictionnaire de l’actualité internationale vise à décrypter les expressions employées par les médias et acteurs de l’actualité. De l’« agenda » au « théâtre des hostilités » en passant par les « fake news » ou la « ligne rouge », près de 300 entrées, rédigées par des universitaires et des praticiens, structurent cet ouvrage collectif.
Les expressions traitées correspondent à des lieux communs (Appeler à, Déplorer, Féliciter, Saluer…), des formules récurrentes (Feuille de route, Homologue, Impasse, Zéro tolérance…) ou des concepts et notions dont la signification a été affectée par des discours réducteurs (Crise, Démocratie, Guerre, Finance…).
Chaque entrée, rédigée avec un souci d’accessibilité aux non-spécialistes, intègre des exemples tirés de la pratique contemporaine et des citations issues d’une variété de médias : presse écrite, radio, télévision et sites internet d’information. Les discours, communiqués, tweets et références issues de la culture populaire sont également mobilisés pour souligner les représentations contrastées du droit international et des relations internationales. Les éclairages ainsi apportés aideront les lecteurs à se forger un esprit critique face au traitement par les médias des faits d’intérêt international.
L’ouvrage est conçu à destination des étudiants, universitaires, praticiens, journalistes et plus généralement des personnes qui s’intéressent à l’actualité internationale.
À propos de l'auteur
Valère Ndior est professeur de droit public à l’Université de Bretagne occidentale.Il a créé en 2011 le blog « Le droit international expliqué à Raoul ».
Détails de l'ouvrage
Cet ouvrage a été réalisé avec la collaboration éditoriale de Raphaël Maurel (maître de conférences en droit public à l’Université de Bourgogne) et Elodie Weil (doctorante à la CY Cergy Paris Université). Il rassemble les contributions de 106 contributeurs provenant de 12 pays.
Sa publication a été permise grâce au soutien du Lab-LEX (UR 7480) et de la Faculté de droit, économie-gestion et AES de l’Université de Bretagne occidentale.